A la porte de l'ordre Mechanicum

Le soleil était en train de se lever, baignant de ses rayons la Citadelle Noire. Lentement, la cité prenait vie et s'agitait.
Un rayon de soleil le réveilla. Sortant de ses rêves fais d'acier et de sang, Greldinar endossa une armure qui avait semble-t-il traversée les années, portant les marques des combats à de nombreux endroits. Mais qu'importe, elle était devenue pour lui comme une seconde peau, un plaisir et un honneur à porter.
Une fois prêt, il prit une direction bien particulière: celle des quartiers du Capitaine Kaïrn et de l'ordre Mechanicum.

Sa légion d'origine était maintenant loin derrière lui. De ses compagnons d'armes, il ne restait que des souvenirs douloureux. Aujourd'hui, il était seul. Son armure et ses armes représentait pour lui sa seule famille.
Mais on ne pouvait rester éternellement rattaché à son passé. Il fallait un jour ou l'autre choisir une nouvelle voie, s'offrir une nouvelle chance. Le grand charr à la fourrure sombre inspira longuement, et frappa ensuite à la porte de l'ordre Mechanicum ...

Il était tard, ou plutôt tôt, quand le Capitaine Kaïrn finit d'étudier les dernières notes qu'il avait trouvé à Orr.
Celui-ci s'apprêtait à aller se reposer quand des coups sur la porte se firent entendre.
En regardant par le système de sécurité, il vit un grand soldat charr.
Encore un de ces crétins de la Légion Sanglante…

Après avoir ramassé un de ses pistolets, il ouvrit la porte.
Au rapport soldat..